Hi!
J'crois bien qu'on a touché les 1000 roros l'once d'or au plus fort de la hausse de l'après-midi...
Accueil du site Acheter Or
L'Or physique | L'Or papier | Fiscalité de l'or | Liens | Contact |
maraboo666 a écrit:Hi!
J'crois bien qu'on a touché les 1000 roros l'once d'or au plus fort de la hausse de l'après-midi...
Le grand retour de l'or refuge
Tensions géopolitiques en Ukraine et craintes sur la croissance chinoise ont propulsé les cours au plus haut depuis six mois.
Charly09 a écrit:Bah non !
Les européens et les américains se dégonflent devant Poutine, et du coup, le cours de l'or se dégonfle lui aussi !
A noter que les dirigeants de l’UE (dans leur délire d’extension maximale de leur construction supranationale et multiculturelle impériale sans frontière) ayant décidé (évidemment sans consulter ses peuples), alors qu’elle n’en a pas les moyens, de prendre en charge financièrement l’Ukraine après la sécession de la Crimée, devront y consacrer des sommes folles (60 milliards d’euros dès la première année), ce qui ne fera qu’aggraver sa propre situation financière et budgétaire globale déjà peu reluisante sans parler de son chômage de masse (surtout si la plupart des 50 millions d’Ukrainiens -auxquels des visas pour l’UE seront généreusement octroyés- peuvent venir y travailler sans limitation)… pendant que la Russie se débarrassera d’un boulet coûteux en ne conservant que la petite Crimée (une sorte de Côte d’Azur peu peuplée dont l’entretien ne lui coûtera pas cher mais dont le développement touristique est prometteur) et sa base navale stratégique de Sébastopol (qui n’a évidemment pas de prix et qu’elle ne peut pas abandonner à la coalition UE-OTAN). Quant à la pseudo illégalité de l’action russe en Crimée, qui a depuis l’impératrice Catherine la Grande toujours été russe, l’UE et les USA n’ont pas à s’en offusquer puisqu’ils ont eux-mêmes monté de toutes pièces la sécession du Kosovo de la Serbie. Sans parler des invasions américaines d’États souverains non peuplés d’Américains un peu partout dans le monde qui se poursuivent…Sur les métaux, nous restons short argent-métal (avec un stop vers 22,25 USD l’once) qui n’a pas cassé à la hausse et aussi short cuivre mais long palladium. Il est normal que la performance de l’argent-métal soit actuellement médiocre puisque provenant à près de 80% comme sous produit du cuivre, il est affecté par la tendance baissière du métal rouge. Sur l’or, qui a lui cassé à la hausse, nous avons couvert vers 1.365 US l’once nos shorts (initiés vers 1.335 USD l’once) et restons neutre (sans position) parce qu’il est sur-acheté et que nous pensons que les banques centrales occidentales ne le laisseront pas aller beaucoup plus haut. L’or étant monté sur l’idée que la Russie, qui vient de rapatrier chez elle des fonds importants qu’elle détenait aux USA et ailleurs, pourrait dorénavant demander le paiement partiel de ses exportations en or et non plus en monnaies fiduciaires de papier, alors que certains stratégistes pensent au contraire que l’Occident essayant de frapper la Russie au portefeuille -pour la punir de récupérer la Crimée- en provocant prochainement une chute du pétrole et de l’or, il se pourrait qu’elle doive bientôt vendre ses réserves d’or pour faire du cash. Le métal jaune va donc plus que jamais être l’objet d’une bataille politique qui nous parait présenter pour les épargnants-investisseurs non initiés plus de risque de pertes que de gains. D’autant qu’il y a beaucoup plus à gagner -avec moins de risque- sur notre spread short actions US/long obligations US.
Sur les graphiques, l’or a cassé à la hausse mais son “full stochastic” n’est pas concluant. En revanche, l’argent-métal n’a pas cassé à la hausse et son “full stochastic” donne un signal baissier.
Le prix de l’or a percé le niveau de 1 361 dollars l’once vu comme une résistance depuis la percée de mercredi dernier, et perdant 10 dollars après la publication de nouveaux chiffres montrant que l’inflation des prix à la consommation aux Etats-Unis avait ralenti à un taux de 1,1% annuel en février.
Les cours des lingots d’argent professionnels ont chuté de 2,5% sur le début de la séance asiatique, glissant et perçant les 21 dollars l’once, soit un bas de 32 mois, atteint précédemment en mai dernier.
Les politiciens et oligarques russes touchés par les sanctions américains et européennes ont tourné aujourd’hui ces actions en dérision (Comrade @BarackObama). La Crimée « a toujours fait partie de la Russie », a indiqué ce matin Vladimir Poutine au parlement à Moscou, enjoignant les députés à soutenir la nouvelle législation pour que la région ukrainienne de Crimée rejoignent la fédération russe.
Les marchés boursiers européens ont inversé leurs pertes précédentes, alors que l’indice majeur des actions russes a pris 2,5%. Les actions dans la zone euros ont bondi de 1% sur la journée. Le rouble est resté plat, tout comme les bons du Trésor US.
« Le test pour un actif valeur refuge se fait en période difficile, non pas facile », estime Julian Jessop de Capital Economics, cité aujourd’hui dans le journal City AM à Londres. « Et l’or a récemment réussi ce test en ce qui concerne la crise en Ukraine. »
Société Générale a indiqué dans une analyse technique des cours de l’or que le métal jaune a atteint un niveau de résistance comme précédemment souligné. Elle fait référence au pic de 1 392 dollars atteint lundi matin, qui est l’objectif prévu pour le mouvement à la hausse se déroulant depuis le début février et basé sur l’analyse des vagues d’Elliot menée par la banque.
« Une consolidation devrait avoir lieu… un support immédiat est vu à 1 355 /53 dollars. »
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 93 invités