Ce n'est pas un SCOOP!
Mais président de quoi...de qui, AU FAIT?
Les derniers twitts de l'intéréssé, participant de la réunion du groupe Bilderberg en Allemagne donne la réponse:
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"Aujourd'hui, nous sommes bloqués par deux tabous : un tabou français, qui est le transfert de souveraineté, et un tabou allemand, celui des transferts financiers ou de solidarité. On ne peut pas avancer sans les faire sauter".
François Bayrou ✔ @bayrou
La jeune députée Jo Cox tuée parce qu'elle défendait l'Europe. Son assassin criait "Britain first !". Le fanatisme nationaliste mène au pire
18:56 - 16 Juin 2016
maraboo666 a écrit:Ca s'appelle un "crétin"...ou PIRE?
Bien qu’elle ne le soit pas dans son essence, mais seulement dans sa forme, la lutte du prolétariat contre la bourgeoisie est dans un premier temps une lutte nationale. Le prolétariat de chaque pays doit, bien entendu, tout d’abord régler ses comptes avec sa propre bourgeoisie.
« Il y a deux peuples opprimés en Europe, les Irlandais et les Polonais, qui ne sont jamais autant internationaux que quand ils sont les plus nationaux. »
« Si c’est oui, nous dirons donc : on poursuit ; si c’est non, nous dirons : on continue ! »
« Bien entendu, il y aura des transferts de souveraineté. Mais serais-je intelligent d’attirer l’attention du public sur ce fait ?
« Lorsque cela devient important, vous devez mentir »
« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens »
Je suis en contact avec des dirigeants d'autres planètes qui s'inquiètent beaucoup (...)
“Général de Gaulle : - Le Marché Commun, il n’y a en fait que deux ans qu’on a commencé à le réaliser. Or notre expansion industrielle remonte à bien avant deux ans. L’expansion industrielle allemande, italienne, de même. Ceux qui racontent des histoires sur les bienfaits incomparables de l’intégration européenne sont des jean-foutre.
Alain Peyrefitte : - Le traité de Rome n’a rien prévu pour qu’un de ses membres le quitte.
Général de Gaulle : – C’est de la rigolade ! Vous avez déjà vu un grand pays s’engager à rester couillonné, sous prétexte qu’un traité n’a rien prévu pour le cas où il serait couillonné ? Non. Quand on est couillonné, on dit : “Je suis couillonné. Eh bien, voilà, je fous le camp ! ” Ce sont des histoires de juristes et de diplomates, tout ça (...)
R__ " “Je n’ai pas le pouvoir d’affronter la Banque mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme…. J’ai gagné un gouvernement mais je n’ai pas le pouvoir !”
J’appris ainsi que d’être le gouvernement, être président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme.
“Quant à la Russie, malgré sa puissance nucléaire elle subit un recul catastrophique. Les États-Unis s’emploient à détacher de l’empire russe ce qu’on dénomme aujourd’hui à Moscou « l’étranger proche », c’est-à-dire les États qui autour de la Fédération de Russie constituaient l’Union soviétique.
A cet égard, l’effort américain porte vers trois régions clefs : l’Ukraine, essentielle avec ses cinquante-deux millions d’habitants et dont le renforcement de l’indépendance rejette la Russie à l’extrême est de l’Europe et la condamne à n’être plus, dans l’avenir, qu’une puissance régionale.
[…] L’indépendance de l’Ukraine modifie la nature même de l’État russe. De ce seul fait, cette nouvelle case importante sur l’échiquier eurasien devient un pivot géopolitique. Sans l’Ukraine, la Russie cesse d’être un empire en Eurasie. Et quand bien même elle s’efforcerait de recouvrer un tel statut, le centre de gravité en serait alors déplacé, et cet empire pour l’essentiel asiatique serait voué à la faiblesse, entraîné dans des conflits permanents avec ses vassaux agités d’Asie centrale.
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